Il suffirait d’une étincelle !
Interrogé par la presse et commentant l’élection d’Emmanuel Macron, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT - qui a appelé à voter pour le candidat -, explique n’être « ni un allié docile, ni un opposant de principe » ; il tente ainsi de faire illusion sur la supposée indépendance de la CFDT et sa volonté de défendre les intérêts des salariés.
Il s’agit d’une vaste supercherie que les faits démasqueront très rapidement, ainsi que l’intéressé lui-même puisqu’il se répand abondamment sans état d’âme dans d’autres quotidiens. En effet, ne sachant semble-t-il plus très bien s’il est responsable syndical ou politique, Laurent Berger appelle le président à « partager le pouvoir » : une nouvelle offre de services qui s’inscrit dans le prolongement de sa collaboration à toutes les politiques de régression sociale de ces dernières années.